Je vais vous révéler en exclusivité les origines du petit Enki Gniack qui est apparut il y a peu sur Yliakum.
Né dans un petit château aujourd'hui disparu, Gniack eu une enfance joyeuse entouré de son papa et de sa maman. Très tôt, tandis que sa mère lui apprenait les finesses de la poésie et du chant, son père, un noble Enki qui s'était battu durant des années pour un monde meilleur, lui enseignait l'art de l'épée. Il croissait ainsi en force et en sagesse et vivait heureux loin des tourments du monde.
Le jour de ses 15 ans un édit royal fur publié. Le roi, un tyran du nom de Alec Rabouilleur, avait décidé d'obliger tous ces sujets à se laver deux fois par jour, un premier bain dans de l'eau chaude et un deuxième, dans la foulée, dans de l'eau froide… Gniack, comme ses camarades et tous les Enki, comprirent tout de suite que le roi voulait se livrer à un génocide. En effet chacun sait que chat échaudé craint l'eau froide… et les Enki préférait faire leur toilette comme le veut la tradition, un bon coup de langue vaut mieux qu'une bassine remplie d'eau!
C'est donc à la parution de cet édit que naquit l'insurrection Enki-Sitorial (du Nom du Père de Gniack qui en prit la tête). Un jour que Sitorial était chez lui un courrier passa le prévenir que le roi avait mis sa tête a prix : 1 000 000 trias ("seulement!" pensa Gniack "j'espère que je vaudrais le double quand je rentrerai dans la rébellion").
Le soir même Sitorial fit a son fils un grand discours de Chat à Chat (et non plus de père a fils…):
"Vois tu, j'ai fait le rêve qu'un jour les enfants Enki, Dwarf et même Homme marcheront en se donnant la main pour faire de se monde un monde plus pure, et si le Crystal n'en brille pas plus dans le ciel, il brillera pour l'éternité dans le cœur et dans les yeux de toute la jeunesse qui, unit, marchera vers un futur sans tache et ou tous le monde, ou au moins toi, mon fils, pourra marcher la tête haute quelque soit son origine ou sa race!..."
Sitorial finissait a peine ce discours que l'homme de garde venait le prévenir de l'arriver de l'armée du tyran. En vitesse il réunit ses hommes pour un combat, certes perdu d'avance (même si du mille contre un ça reste jouable), mais ou le tyran apprendrait la férocité de ce peuple si câlin mais si prompt a sortir ses griffes quand on l'attaque… (tara ta tsoin…).
Le combat fut homérique, les Enki faisant des ravages dans les troupes royales, mais un à un les fidèles compagnons de Sitorial tombaient, submergés par la masse de leur assaillant. Il ne resta bientôt plus sur le champ de bataille que Sitorial et a ses cotés, luttant avec une énergie étonnante pour son jeune age, Gniack!
Se voyant proche de la fin Sitorial intima l'ordre à Gnack de s'enfuir, "Jamais, lui répondit il, jamais je ne t'abandonnerai…" "File, c'est un ordre mon fils! Tu dois secourir ta mère, et si tu meurs notre sang et notre Race risque de s'éteindre, … il te faut vivre pour participer à la purification de ce monde…". Le cœur lourd Gniack essaya de regagner le château tout en laissant dans son sillage le sang de ses ennemies couler a flot. Mais hélas tout son courage ne lui suffit pas pour esquiver le coup de masse qui l'assomma. (C'est depuis ce coup qu'il est un peu fêlé!).
Quand il revint à lui il vit son père et sa mère tout deux attachés. Le tyran le voyant revenir a lui ordonna qu'on l'approche pour qu'il ne rate rien du spectacle. Et, sous ses yeux horrifiés, il les fit égorger… prit d'un subit accès de rage Gniack réussit a rompre ses liens, tromper la diligence de ses gardiens, et faire un grand bond toutes griffes dehors pour crever l'œil du tyran, d'un deuxième bond il se rua dehors ou il vit le château de son enfance en feu. Il décida alors de s'enfuir pour Oja où son pere avait des amis qui pourrait le cacher…
… La suite de cette fantastique aventure ou Gniack cherche à aider à la purification de ce monde, vous l'avez sous vos yeux… et n'oubliez jamais courageux lecteurs, que si l'Enki est câlin ses griffes ne servent pas qu'à faire jolies, a bon entendeur…